Fondée sur des données montrant que la majorité des personnes suicidaires, y compris les personnes LGBTQ+, ne sollicitent pas les services de prévention du suicide pour exprimer leur détresse, cette présentation explore cet échec de prévention à travers le cadre théorique du suicidisme, qui désigne l’oppression des personnes suicidaires. Lors de cet atelier, Alexandre démontrera comment la logique préventive intensifie les violences structurelles subies par les groupes marginalisés. Il mettra en lumière des exemples tels que l’hétérosexisme, qui englobe l’homophobie, et le cisgenrisme, qui inclut la transphobie.
